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Une pensée qui rôde

#1
Celle-là, je ne l’avais pas vu venir
Elle se promenait là, librement
Claquant ses bretelles de jeunesse
Me narguant presque de sa joie de vivre

Elle voyageait comme un parfum d’été
À m’en rendre verte de jalousie
Faisant virevolter sa robe
Sans qu’aucun souci ne s’y glisse

Je l’attraperai bien au lasso
Son petit rire m’agace à la fin
Je la ligoterai bien, ici,
Pour lui faire avouer son secret

Mais force est d’admettre qu’elle est plus vive
Plus forte, plus futée que la colère
Malgré tous mes efforts pour m’en soustraire
Elle est toujours là, fraîche et dispos

Même les grands courants d’air, ne la déloge
C’est une pensée rôdeuse, presque hors-la-loi
Qui titille les bourgeons de mes rêves
Les empêchant de s’endormir devant l’néant
 

zuc

Le chat noir
Membre du personnel
#2
Je l’attraperai bien au lasso
Son petit rire m’agace à la fin
Je la ligoterai bien, ici,
Pour lui faire avouer son secret

une pensée psycopathe ;)
 

Polymnie2

Maître Poète
#3
Effectivement
ce sont toutes les faces de la psycopathie
qui s'étend à l'infini des défauts!

Tu l'as bien décrite cette pensée qu'il faut panser!

Bises Poly