Tous mes espoirs s’envolent
Mêlés à la fumée d’une
Cigarette brune
Moi, mon cafard,
C’est dans ton regard
Que je l’égard
Les volutes sont habillées
Des perles mouillées
De mes yeux brouillés
Quand ton regard est vide
Tout devient pénible
Et je perds j’équilibre
Elles retombent en pluie
Fine, invisible, sans vie
Tout n’est plus que comédie
Et de mes cils
Coulent, facile
Mes larmes. Ainsi soit-il
Il faut garder le sourire
Rester si j’ai envie de partir
Vivre si je veux mourir
Quand tu croques
Lenon, c’est le choc
At five o’clock
Il ne faut rien montrer
Essayer de cacher
Que ta peine me fait pleurer
Ton cœur dans le sien
Il suffisait d’un rien
Tu le sais très bien
J’éprouve à la fois
Douleur et joie
Lorsque tu te confies à moi
Comme tu savais, Amour,
Que je voulais à mon tour
Ecouter du Gainsbourg
Mais je n’arrive plus
A accepter le lourd tribut
De ton bonheur perdu
Mais j’ai continué à voir
Noire, quand dans le miroir
Je t’ai vu Gainsbarre
Tu noies dans le ricard
Tout ton désespoir
Et tes idées noires
Mêlés à la fumée d’une
Cigarette brune
Moi, mon cafard,
C’est dans ton regard
Que je l’égard
Les volutes sont habillées
Des perles mouillées
De mes yeux brouillés
Quand ton regard est vide
Tout devient pénible
Et je perds j’équilibre
Elles retombent en pluie
Fine, invisible, sans vie
Tout n’est plus que comédie
Et de mes cils
Coulent, facile
Mes larmes. Ainsi soit-il
Il faut garder le sourire
Rester si j’ai envie de partir
Vivre si je veux mourir
Quand tu croques
Lenon, c’est le choc
At five o’clock
Il ne faut rien montrer
Essayer de cacher
Que ta peine me fait pleurer
Ton cœur dans le sien
Il suffisait d’un rien
Tu le sais très bien
J’éprouve à la fois
Douleur et joie
Lorsque tu te confies à moi
Comme tu savais, Amour,
Que je voulais à mon tour
Ecouter du Gainsbourg
Mais je n’arrive plus
A accepter le lourd tribut
De ton bonheur perdu
Mais j’ai continué à voir
Noire, quand dans le miroir
Je t’ai vu Gainsbarre
Tu noies dans le ricard
Tout ton désespoir
Et tes idées noires